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Mes petits bateaux

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Mes petits bateaux

Mes thermiques en navigation

Huntsman31 en mer mon modèle la Elco en patrouille le modèle sur le plan d'eau de Civaux

Huntsman31 en mer
Huntsman31 en mer 
En premier l'Huntsman31 vedette de plaisance anglaise ; ensuite mon modèle en navigation . La photo de l'original est tirée d'une revue anglaise par un spectateur.

Ensuite le patrouilleur torpilleur Elco : la vraie et le modèle réduit 
La photo de l'original vient d'un site américain.

En mer leurs navigations sont plus expressives car dans le milieu prévu pour les coques

 

Le moteur de l' Huntsman 31 - la vedette blanche

le clapet est dans les 2 plaques d'alu la transmission par courroie la prise d'eau verticale et le tube horizontal est la sortie des gaz le moteur d'origine

le clapet est dans les 2 plaques d'alu
le clapet est dans les 2 plaques d'alu 
Je viens de me rendre compte que je n'avais jamais décrit les modifications et améliorations de ce moteur KT12 kawasaki.
Moteur récupéré en panne sur sa débroussailleuse il y a longtemps dans les années 80 et dont j'ai réutilisé aussi l'embrayage et l'axe de transmission ; et c'est autour de ce moteur que j'ai construit ma vedette .
A l'origine il était équipé d'un allumage à vis platinées et d'un carburateur à boisseau ; avec ces particularités il n'y avait pas moyen de le faire fonctionner dans le bateau : à l'arrêt tout allait bien , mais dès sur l'eau en mouvement le moteur s'arrêtait au bout de 10 mètres.
Donc redémontage complet : changement de l'allumage pour un adaptateur électronique ; ensuite échange du carburateur pour un à membrane et retour sur l'eau . Le bateau avance bien mais le moteur a des ratés .
En recherchant bien je me rends compte que ces ratés proviennent de micro coupures d'allumage , en réalité l'étincelle de la bougie est aléatoire . J'ai découvert que le problème venait de la masse qui ne remontait pas bien sur le culot de la bougie ; en effet après échange du joint au niveau du bas moteur et remonté les vis avec de l'anti-glisse la jonction de masse a due être réduite ; j'ai donc relié directement la bougie au bloc de la bobine par un fil souple et tout est presque rentré  dans l'ordre.
Ensuite l'allumage du moteur perturbait le récepteur de la radio pourtant en FM : donc changement du fil souple pour un blindage intégral et là le fil de bougie perdait de la tension sur sa longueur ; j'ai donc isolé ce fil par plusieurs tours de ruban téflon de plomberie .

Tout allait pour le mieux car ma vedette naviguait correctement .

Bien sûr mais le bateau était lent alors.... redémontage total , changement du segment qui n'en avait plus que le nom et nettoyage du cylindre à l'abrasif très fin , je crois que le terme exact est "honer le cylindre". C'était nettement mieux ...

Après conseils , j'ai ouvert la jupe du piston (bien entendu j'en ai trop fait) pour mieux remplir le cylindre qui s'est mis à recracher du carburant . Je me suis donc procuré un petit clapet que j'ai incorporé entre le carburateur et le cylindre , après agrandissement de l'entrée mais sans toucher à la paroi intérieure. Ce clapet est enchassé dans deux plaques en alu de 4 mm étanchéisés par des joints en papier .
J'ai lissé le passage d'air du carburateur , retiré le clapet de starter et rogné au maximum la vis et l'axe retenant le papillon des gaz et j'ai serti le tout ; cela pour faciliter au maximum le passage du mélange et sans le perturber.
Après plusieurs belles saisons de navigation je me suis relancé dans des améliorations : affûtage de la bielle , augmentation et alignement des transferts avec le bas moteur. Je n'ai pas touché à l'avance de l'allumage.

Toutes ces améliorations se sont effectuées sur plusieurs années et maintenant tout va bien . La grosse différence se situe sur la consommation : avant le réservoir tenait 1h15 et maintenant il est vide en 30mn.
Je réutilise toutes les connaissances acquises sur ce moteur pour améliorer et régler les nouveaux. Améliorations que je réalise systématiquement . De plus je fixe une tresse "récupérée sur du cable d'antenne télé" sur la masse de l'allumage et sur le pot d'échappement ; le tout relié à la ligne d'arbre qui évacue les éventuels parasites dans l'eau . Depuis cette précaution je n'ai plus de problème de radio et les voisins de navigation aussi .
Le calage de la tension de courroie est réalisé par des morceaux de courroie crantée de voiture coincés entre le nez rouge du moteur et le couple de la coque situé dessous, les amortisseurs du moteur la bloquant en position.
 

 

Retour sur les barres avant de mon Narval

le nouveau servo avec un ne544 pour les barres AV
le nouveau servo avec un ne544 pour les barres AV 
Actuellement je trouve que le déplacement latéral de mes barres avant est trop lent, ce qui est aussi l'avis d'autres modélistes.
Je viens de découvrir un montage de servo pour mes barres ne faisant pas appel à un système de transistors en pont pour la partie puissance mais un système à relais ; car si le système en pont est économique en consommation, il est gourmand en tension ; et ne pouvant pas augmenter la tension de la batterie , je vais essayer le système à relais qui lui ne fera pas baisser cette tension arrivant au moteur. Le montage de servo avec un ML51660 aurait dû fonctionner , mais les servos frétillent au neutre de la radio et pas moyen de corriger le problème .
Donc je passe à autre chose ; après une découverte intéressante dans un fond de tiroir : j'ai retrouvé 2 circuits NE544 obsolètes depuis longtemps mais à l'époque très fiables , je me lance donc dans la réalisation du même type de module pour mes barres mais avec ce vieux circuit . Un montage qui équipe mon sinago depuis .........et qui fonctionne toujours.
Tout celà pour arriver à un fonctionnement des barres avant plus rapide et donc plus plausible .
Ce montage fonctionne maintenant et je n'ai plus qu'à l'incérer en remplacement du précédent après l'avoir étalonné et réglé en fonction de la voie utilisée et de la course des barres AV.

 

Le nouveau mano-contacteur ; la vanne et sa commande

le devant du nouveau mano-contacteur et les 5 ILS l'arrière du mano et la prise de pression à diminuer la vanne modifiée car le kiosque est très étroit la commande affinée et son guide

le devant du nouveau mano-contacteur et les 5 ILS
le devant du nouveau mano-contacteur et les 5 ILS 
Maintenant que le groupe pompe et compresseur est installé et testé , il me faut un nouveau mano-contacteur pour le commander car le précédent est nettement trop gros pour rentrer dans le compartiment, sachant que je vais y installer en plus mon système de production de Co2 ; mais ce sera un nouvel article .

Maintenant ayant récupéré un autre manomètre plus petit je me lance dans sa modification .
Je me heurte à un gros problème : mon système ne fonctionne plus avec celui-là . Après maints essais infructueux je réalise que ce mano est tout en métal : le corps et l'aiguille ; le précédent avait le corps et l'aiguille en plastique , voilà pourquoi le système avec l'aimant collé sur l'aiguille ne marchait pas : le flux de l'aimant était court-circuité par l'aiguille et le corps du manomètre.

Donc , j'ai fabriqué un corps en plastique avec un bout de tube d'évacuation d'eau de 40mm et récupéré l'aiguille du premier mano après en avoir bouché le trou et repercé au diamètre du nouvel axe qui était plus petit .
J'y ai ensuite collé les 5 ILS en testant avec un ohmmètre s'ils réagissaient bien au passage de l'aimant .
Ces 5 ILS de façon à avoir du réglage de pression de 2 en 2 kg pour la bouteille d'air comprimé . Cette pression étant fonction de la consommation en évolution du sous-marin et de l'autonomie de la batterie ; donc à estimer .
J'ai réduit la longueur de la prise de pression que j'ai filetée à 4mm ainsi qu'un coude en cuivre coudé serré à chaud et tarodé à 4mm . Le tout est assemblé avec du joint pour vapeur et raccordé au goupe et à la bouteille de réserve ; j'ai chargé les diverses batteries et accus pour faire les essais en situation réelle mais sans prise de plongée.

Pendant que j'y suis, j'ai démonté ma vanne 3 voies pour la modifier car son fonctionnement ne me plaisait pas ; avant je tirais et poussais directement la tige du clapet, le fonctionnement était souple ; en remplacement j'ai installé un système articulé qui permet de démultiplier l'effort de la tringle tout en la rigidifiant .
Mais comme toute modification cela implique des modifications périphériques qui sont plus importantes que prévues car avant la manœvre était en alignement et maintenant elle est déportée et la place entre le capot du ballast et le dessous du pont est très restreinte et il a fallu modifier la vanne elle-même ainsi que placer un guide sur la tige de commande.

Comme de bien entendu la séquelle principale de ces modifications est que le capot en plastique du ballast qui tient tout le mécanisme s'est fendu et donc il m'a fallu en refaire un autre et réimplanter tout le système du shnorkel qui était aussi dessus . 

 

Sécurité chimique pour le Narval

Depuis quelques temps je reviens sur certaines options électroniques concernant la sécurité infiltration.
En effet s'il se produit un incident quelconque les détecteurs d'eau vont réagir, mais si de plus il se produit un problème électrique, ce qui serait fréquent d'après les divers forum eh bien ces sécurités sont HS. Il parait que nous embarquons périodiquement un passager clandestin parfaitement connu : un certain Murphy.
En conséquence, ayant commencé à étudier mes sécurités en tout électronique, je suis en train de reprendre tout ça et voir s'il n'y aurait pas une autre méthode comportant moins d'aléas.

C'est pourquoi je m'intéresse à la production d'un gaz pouvant chasser automatiquement au ballast et éventuellement gonfler dans une certaine mesure le compartiment défaillant .
Ce gaz, du Co2 . Pour le produire du bicarbonate et un acide (du vinaigre) ; dans mon cas du bicarbonate et un acide en poudre (du détartrant pour machine à café) bien mélangés et placés dans un gobelet au fond percé et pourquoi pas une grosse mèche pour aspirer l'eau quand le fond est inaccessible : une double mèche plate pour lampe à pétrole ferait parfaitement l'affaire, et j'en possède plusieurs mètres ou éventuellement la réalisation d'un tube capillaire adapté. Un appareil par caisson étanche car dans mon cas j'ai obturé le tube technique après le passage de mes divers cables et tubes, justement pour éviter d'innonder l'ensemble de la coque.
Ce système aurait le mérite de produire du gaz qui équilibrerait presque les pressions intérieure et extérieure et le surplus évacué dans le ballast via une valve et provoquant une chasse automatique.

J'ai réalisé quelques essais que je pourrais qualifier de prometteurs : dans une bouteille de 25cl de coca la pression est montée à 2 b et dans une de 1,5l j'ai obtenu 0,5 b . Pourquoi une bouteille de coca car elle est conçue pour tenir une pression de 6 kg . Il découle de ces essais que les pressions sont fonctions de la quantité de produit et de l'eau introduite . Je n'ai donc plus qu'à expérimenter les dosages en fonction des volumes à protéger.

Voilà où j'en suis actuellement et si ça marche le Murphy, il sera asphyxié.

Et après quelles que constatations de ce matin , je vais remplir les interstices restant libres entre les éléments avec des flacons cylindriques étanches de façon à limiter le volume d'eau embarqué . Je n'ai pas besoin de ces grands vides, n'ayant pas de personnel à trimbaler ; plus les compartiments seront pleins moins il y rentrera d'eau .

 

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